lundi 13 avril 2015

Avril suite








lundi 13 avril  la cd m'a énervé ! Plus exactement sa chaîne...
Tout d'abord, j'ai reçu les vis qui m'ont permis de fermer convenablement le moteur. C'est déjà ça.


Ensuite, je me suis mis en devoir de raccourcir une chaîne de k5 pour l'adapter. Ôter un rivet rien de bien compliqué avec un chasse goupille :


Oui mais j'avais une chaîne de 120 maillons, celle d'origine en a 112, j'en sors donc 8.
Présentation de la chaîne à la moto : il en manque 4...
J'en rajoute 4. Il y en a 2 de trop.
J'en sors un, juste un : c'est trop court.
Et M......... avec un grand M !
C'est incompréhensible, ou plutôt j'ai peur comprendre : le tendeur de chaîne de gauche, celui "bricolé" par l'ancien proprio n'a pas suffisamment de recul et il joue sur 1/2 maillon.
1/2 maillon en chaîne ça n'existe pas.
Et un problème de plus, un !!!
Presque deux heures pour cette ânerie, j'ai arrêté, valait mieux...
Mardi  la chaîne est en place, ça m'a pris 1/4 d'heure pour virer un maillon, poser l'attache rapide, régler la tension et bloquer tout ça.
Je ne comprends pas pourquoi j'ai tant ramé...


Pose du carter de sortie de boîte, l'occasion de voir qu'il manque un petit carter/cache derrière celui-ci. Sur la ss c'est le carter qui est monobloc et qui fait office de cache. Je ne savais même pas que sur la cd il y avait ce truc et je vais trouver ça où ?


Enfin j'ai passé le câble de démarreur sous le moteur et dans la poutre du cadre, ce n'est pas pratique, il aurait mieux valu le faire avant de fixer le moteur. Puis une fois en place les caoutchoucs protège cosses se sont délités, j'ai donc dû redéfaire pour les changer.
Nous sommes à l'intérieur de la poutre au niveau du relais de démarreur, il faut des doigts de fée...


Ce fut tout pour aujourd'hui le temps estival (presque 30° déjà) impose des travaux dans les champs, enfin au jardin quoi !
A ce stade il reste des branchements à l'intérieur du phare à réaliser, et un pot d'échappement à vider. En effet il pèse le double de l'autre. Il semble plein de suie épaisse et très grasse.
Comment déboucher cela ?
Une fois les pots en place, l'essai de démarrage pourra se faire. 

Une pensée pour Pascal qui a récupéré son informatique et peint son bleu. Pas mal du tout ce résultat, plus gai que le noir notamment !
Allez voir :

Dimanche 19 avril, cette semaine, nous profitâmes du beau temps trop chaud pour aller faire une petite virée, les motos ont donc attendu au garage.
Toutefois pour faire bonne mesure, je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager un moment d'anthologie. Certes il ne s'agit pas du tout de moto, mais après tout étant le rédacteur en chef de ce blog (oui chef !) je puis me permettre toutes fantaisies...
Il s'agit ici d'école, j'en avais déjà touché deux mots suite à l'éclipse, car je suis de près tout ce qu'il peut se passer dans l'école publique, celle de la république.
Figurez-vous que l'école, comme tout un chacun professionnel, a développé un jargon spécifique, un parler pédagogique à base de termes pompeux parfois, mais souvent inutilement alambiqués.
Un peu comme je le fais dans ce blog, des fois, pour rigoler...
Ainsi le stylo est devenu un "outil scripteur", les petits ne trempent plus le pinceau dans la peinture mais "l'outil dans la matière" le ballon est un "référentiel bondissant" etc.
Tout ça pour vous donner le dernière invention du ministère de l'éducation qui, comme d'hab vient de changer les programmes. 
Figurez-vous que les collégiens nageaient bêtement dans une piscine. Trop simple.
Dorénavant, ils devront :
"traverser l'eau en équilibre horizontal par immersion prolongée de la tête, dans un milieu aquatique profond standardisé"
Rien que ça !
Le rapport avec la moto ? Aucun, c'était la minute culturelle...
Allez, labisatous !

Coucou les amis, nous sommes jeudi 23 et nous revoici après quelques jours de relâche moto.
Ce matin, j'attaque billes en tête mais le téléphone sonne et me voici stoppé net dans cet élan généreux. En plus, faut voir, c'était un gars pour un clignotant Yamaha ! Comme si j'avais de la pièce Yamaha, n'importe quoi ! Cela dit comme il était sympa nous avons discuté assez longtemps et du coup, je n'ai pas fait grand chose, il y en a je vous jure...
Bon on lui pardonne c'était Gilles. Gilles qui prend la peine de m'écrire régulièrement sur ce blog, de m'encourager souvent et toujours de bon conseil. Sympa Gilles ça m'a fait plaisir de t'avoir au téléphone et ça ne m'a évidemment pas empêché de bosser !
La preuve :
Gilles m'a donné un truc pour vider un échappement bien encrassé. J'ai donc chauffé un peu au décapeur, puis tapoté avec un maillet bois et voilà ce qui est sorti :


Ensuite polissage au Belgom



Pose d'un caoutchouc mignon tout neuf trouvé dans mon stock


Puis le pot est monté sur la moto. Rien de compliqué, mais il faut adapter rien ne tombe en place. Ne rien serrer avant d'avoir tout positionné, j'ai dû aussi faire pivoter les silencieux.
C'est un travail de patience.
Le pot droit est posé :


Puis le gauche :


Vus de face :


Et de dos !


Dans la soirée un ami est passé pour me montrer une moto extraordinaire. Une 300 Honda de 1965 restaurée superbement jusqu'à la dernière rondelle :



On aime ou pas, moi c'est oui plus rétro on ne peut pas, j'adore !

Samedi ce fut un peu de travail dans la soirée : le morceau pénible de la fin, j'ai nommé les fils qui essaient tant bien que mal de se loger dans le cuvelage de phare.
Tout d'abord, le fil rouge sur le fil rouge, le noir sur le noir, vous connaissez la suite... Au bout d'un moment tout ce joyeux petit monde est enchevêtré, tortillé, mélangé. Il faut être vigilant et essayer autant que faire se peut, de dégager chaque fil branché.

Cela peut se faire, la preuve par l'image. J'ai dû, à l'aide d'un vieux faisceau, réaliser un connecteur de fortune et néanmoins sécurisé afin de brancher les trois derniers fils. Des fils bleus de phare, tous les trois en version cosse mâle, pas normal car il fallait les relier.


Finalement tout est rentré et le phare s'est refermé sans coup férir et surtout sans rouspéter !


Pour le plaisir de mes lecteurs (le mien aussi) un petit empilage des éléments supérieurs afin de donner figure motarde à cette petite "black bomber" !


Déjà, esthétiquement je suis content.
Après, faut voir...

La cd fut ma 1ère moto, mais mon premier deux roues officiel et légal fut un P50 (Honda, quelle question saugrenue). Ce P50 ne s'est pas en son temps très bien vendu. D'une esthétique particulière, il fallait de plus le vidanger, régler les soupapes et le pingouin moyen ne voulait pas s'emm.... avec ça. Ajoutons un réseau de distribution balbutiant et nous voilà avec un cyclo devenu peu courant voire assez rare. Je m'étais promis d'en trouver un c'est fait :



Il est complet, pas bloqué, à restaurer entièrement (tiens donc) et je pense que ce doit être un cauchemar mécanique. Je vais donc le stocker proprement en attendant d'avoir terminé les autres motos en cours.
Mercredi 29, peu de travail sur la cd, en effet pour la mise en route, il ne me manquait que de l'huile, rien que ça et puis, le temps étant clément (même davantage) il y a du travail dehors qui n'attend pas trop. L'huile est là, on verra demain. En attendant j'ai posé le kick et le sélecteur :


Le chrome du kick est bien ancien, c'est le cuivre qui se laisse voir.
Le caoutchouc est neuf et d'origine siouplaît !

Quand au sélecteur il est vraiment tout beau.


Jeudi soir tout est prêt pour la mise en route. Nous avons "rempli" les tubes de fourche avec de l'huile moteur, je n'en ai pas d'autre et c'est ce que l'on mettait en 70.
135 cc soit 135 ml de 10w 40 dans chacun. Remplissage par le haut, petit récipient indispensable.
Doseur recommandé...


Puis, j'ai finalisé le branchement côté batterie en mettant un support de fusible de k5, on ne trouve rien d'autre de toutes les façons. Nous sommes sécurisés en principe :


La batterie neuve est en place, il faudra arriver à rentrer tout ce barda dans le petit logement. Il y a le faisceau au complet, les câbles de masse et le départ des fils positifs, le relais de démarreur, pour faire bonne mesure la centrale clignotante et enfin, normalement, le gros porte filtre à air.
Tant que la moto n'est pas tournante et réglée, je ne monte pas le filtre car il est alors trop difficile de sortir le carbu si besoin.


Une fois la batterie branchée, j'ai procédé aux essais. Curieusement tout a fonctionné !
Feu, phare, clignotants, klaxon et démarreur.
Suspect, très suspect.
Réglage de l'avance à l'allumage et de l'écartement du point de contact :


Maintenant ya plus qu'à.
Avant d'attaquer le joli mois de mai une pensée pour Pascal à qui il doit tarder de retravailler sur sa moto. Tu tiens le bon bout Pascal !

mercredi 1 avril 2015

Avril, enfin le printemps










Mercredi, pour commencer, j'ai remplacé mon commis. En effet, il ne me donnait plus satisfaction. Pour travailler, j'ai besoin de calme et de "zénitude" or, ce commis là devenait trop agité, du coup je lui ai trouvé un remplaçant. Nous l'avons échangé au voisin contre un poisson rouge aussi inefficace mais tellement plus silencieux !
Gros avantage supplémentaire : plus de frais de véto, c'est le voisin qui va s'en débrouiller...


Ce problème étant réglé revenons aux choses sérieuses : la moto.
Ce fut peinture des carters moteur. C'est plus rapide que le polissage. Par contre, c'est neuf ! Bon sang que c'est neuf, espérons que ça ne jurera pas trop...


C'est une peinture qui tient la chaleur, je l'ai chauffée au décapeur. L'inconnue c'est la tenue à l'essence qui dégouline. On verra bien.


Le démarreur demandera un raccord sur le devant, je ne sais pas ce que j'ai fait, mauvais secouage sûrement ou trop d'épaisseur.


C'est tout pour aujourd'hui.
Mais, revenons au commis, cet échange proposé par le voisin m'avait paru curieux, je me suis alors souvenu que nous sommes le 1er du mois d'avril...
Le voilà dans ses oeuvres le gredin !


Jeudi c'est la fermeture presque complète. La culasse pour commencer. On remet le couvercle avec ses  deux joints sur et sous la plaquette. Ce couvercle est  bloqué par 6 écrous dont un borgne.
Ils sont à serrer dans l'ordre indiqué :


Serrés au couple comme préconisé. Une clé dynamométrique est utile. Attention dans les grandes surfaces, celles qui sont vendues sont inadaptées à nos petites motos : elles sont trop puissantes dès le couple minimum.


Pendant ce temps, les carters et le démarreur qui ont reçu un vernis de protection ont séché.



Avant de poser le carter d'alternateur, il faut remonter le démarreur dont la chaîne passe en fond.
Une bonne précaution est de positionner d'abord le câble de liaison batterie/démarreur qui passe derrière le démarreur (à l'extérieur) car parfois après coup ce câble ne passe pas.


Nous mettons la chaîne en place, elle a une attache rapide. En effet, elle doit être séparée afin de passer à travers le socle du rotor.
La chaîne en place, le rotor vient se poser par-dessus.


Place maintenant à l'astiquage du bloc moteur. La partie centrale n'est pas peinte et je dois la polir un peu. L'inquiétude me gagne car j'ai l'impression que cela va jurer avec la peinture...


Nous vissons le stator : deux boulons et un écrou.


La came d'avance s'emboîte par-dessus (il y a un détrompeur)


Le montage de la commande d'embrayage dans le carter :


Puis mise en place du carter et pose du plateau d'allumage.
Je suis passé en vis BTR n'ayant plus envie de batailler sur des cruciformes récalcitrantes. Il m'en manque quatre parmi les plus longues, donc montage provisoire !


De l'autre côté il n'y avait plus qu'à remettre le carter avec un joint neuf.
Un épurateur de k5 est venu remplacer l'ancien que je n'ai pu nettoyer faute d'avoir réussi à l'ouvrir.
Ils sont identiques à 99,5 %.


Ce mélange poli/peinture n'est pas des plus heureux je trouve. 
Toutefois il reste trois caches à mettre, notamment sur le haut moteur. Ils seront polis brillants et, peut-être compenseront-ils le choc esthétique du bas ?
Ce sera tout ou rien une fois le moteur à sa place sur la moto. Il faudra voir cela habillé au milieu du reste, mais je crains...

Samedi grosse journée atelier ! Je commence par le réglage des soupapes. Moteur froid (fastoche) cale de 0,05 mm, ça fait peu...
Soupape fermée on joue sur la vis de réglage, je ne vais pas refaire le manuel d'atelier, n'importe lequel concernant les vieilles 125 Honda fera l'affaire, ça se passe pareil :



Avant de fermer les bouchons, un peu de graisse au cuivre aidera à leur réouverture. Ils ont une fâcheuse tendance à se bloquer...


Ensuite révision du branchement des arrivées au + batterie afin d'intercaler un vrai fusible Honda. J'avais mis un fusible auto, mais son branchement n'aurait pas tenu, à cause des vibrations engendrées par une vieille moto.
Le scotch blanc n'est pas une épissure mais un repère...
Vu comme ceci, ça semble un poil bidouillage, mais c'est propre, solide et sécurisé.
En principe !


Puis, sous l'oeil attentif de commis, atelier polissage :


On se met dehors, la poussière est terrible et surtout très salissante.
Le meuble tv à 10 balles est pratique avec ses roulettes :


Puis on s'habille minable en se déguisant en je ne sais quoi, gueilles crades, lunettes sur les lunettes pour protéger les gneux et masque pour les poumons :


Merci chers lecteurs d'admirer béats ce magnifique autoportrait. Ah non c'est vrai qu'on dit "selfi" maintenant, autrement on a l'air d'un con à parler français. 
Bon, polissons, polissons :


Tant que j'y étais, j'ai fait les quelques caches d'avance en ma possession, ils seront vendus et, comme ça je serai pété de tunes !
And like that I shall be peted of thunes !!!

Qui a dit que le français ne parle pas anglais ?


Ces 3 caches d'épurateur proviennent de cd. J'adore celui du haut avec son graphisme très ancien et hésitant, c'est un des tout premiers de 1966 sans doute.
C'est lui que je garde.


Mon petit commis s'est approché, je lui ai fait un "self-lui".
Il est mignon le sacripant !


Allons-y pour les changements de joints divers et variés, ils sont dans la pochette, alors n'hésitons pas. Il m'en restera un et j'ai dû passer du temps pour trouver sa destination. C'est un joint qui va derrière la pompe à huile qui elle même est - souvenez-vous - derrière l'embrayage.
Inutile de préciser que ce joint restera dans la pochette...


Sur l'épurateur, deux toriques.


Dans l'épurateur un torique.


Dans les sorties d'échappement aussi :


Voici le moteur refermé, prêt à cuire :


Moteur livré en vrac, il n'y avait pas les boulons de fixations. Dans mon stock heureusement j'en ai, peu mais j'en ai, par contre ce sont des boulons Honda années 80.
On fera avec et le badaud qui ne sera pas content...


Fabrication d'un boulon de réglage de tendeur de chaîne qui a été taraudé à 8 au lieu de 6. Ce tendeur est bricolé à partir de je ne sais quoi. En effet il est spécifique à ce montage de roue et introuvable.


Pour finir, j'ai poli la jauge à huile, elle a hérité d'un torique neuf elle aussi.


Sur l'établi, ce moteur ne fait pas moche. Le mariage poli/peinture paraît heureux, toutefois il faudra confirmer une fois le moteur remis en place et vu au jour.
Un peu de rangement enfin, juste avant de fermer. On y voit plus clair et surtout les petites pièces sont triées, visibles et accessibles. 
Quant aux motos au premier plan c'est de l'avance à restaurer...


Bons chocolats à tous !

Jeudi 9 petite reprise sur la moto après une pause spéciale peinture maison...
Yen a qui croient qu'on s'amuse !
En peignant, on a tout le temps de réfléchir et mes réflexions ont introduit un doute terrible quant à la pompe à huile. Le lecteur attentif et qui suit assidûment le blog, se souviendra qu'il me restait un joint en vrac, celui de pompe à huile. J'avais en son temps, décidé de laisser comme cela, pensant avoir remonté l'ancien joint. Mais, en y réfléchissant, je me suis dit qu'après avoir démonté la pompe, il était peu probable que j'y ai laissé un vieux joint...
Ouverture du carter, démontage de l'embrayage avec la pompe :


On peut constater sur cette photo que de joint point, point de joint quoi !
J'ai bien fait de rouvrir la bestiole.
Un joint (de pompe) plus tard, on referme. Ne pas oublier de freiner la fixation :


Au moment de bloquer l'embrayage, un boulon tourne comme "à vide" mais au blocage il cassera net son petit corps restant prisonnier de la cloche...
On ouvre de nouveau ce satané embrayage, dégagement de la cloche pour constater que le morceau cassé est bien au fond du filetage, impossible (avec mes moyens) de l'extraire. Comme souvent, j'ai de la pièce d'avance, ça aide....


Changement de cloche, fastoche quand même, c'est juste emboîté et bloqué par un circlip, 
remontage des disques et,
on referme tout. Il restera quatre BTR longues à poser pour le carter d'embrayage. J'ai dû les commander sur internet n'en trouvant pas dans mon secteur.
Demain je pense remonter le moteur sur la moto.
Vendredi avec l'aide de Patricia nous remettons le moteur en place. A deux c'est bien plus pratique, un qui lève, l'autre qui pose les boulons.
On n'oublie pas de gratter la tôle à l'endroit où se fixera le câble de masse. On pose un boulon en haut et un en bas, ensuite on peut se débrouiller seul. Ces boulons ne forcent absolument pas.


Voilà c'est fait :


Passons au carburateur, le joint papier d'abord puis par-dessus l'entretoise en bakélite :


Ensuite, l'art et la manière de s'emm.... pour peu de chose c'est ce joint dont la gorge quasi plate ne permet pas l'encastrement, alors il tombe dès que le carbu est vertical, plusieurs fois évidemment...
J'ai dû le "coller" avec de la graisse à chaîne (un peu).


Ensuite je l'ai équipé de son câble d'accélérateur, j'ai monté le klaxon (provenance k5) ainsi que les antiparasites.


Enfin, j'ai voulu brancher la broche d'alternateur, là dessous sur la photo.
Je n'ai pas pu brancher la broche d'alternateur, car la broche d'alternateur elle passe entre le moteur et la poutre au bout de la flèche orange. Sauf qu'il fallait la passer au montage, là elle n'a plus la place.
Le Alain (Alain, c'est moi) demain il n'aura qu'à enlever les boulons moteur pour basculer celui-ci juste le temps de glisser la broche dessous...


Ne nous plaignons pas ça prend tournure :


Il faudra aussi fermer le moteur convenablement avec les vis commandées sur internet si elles arrivent, ce ne sont pas des foudres de guerre dans cette boîte...
Samedi, j'ai défait trois boulons moteur sur quatre, basculement d'icelui et faufilage de la broche oubliée hier. Grâce à des cales en bois, j'ai pu opérer seul.
Continuons le remontage avec la pédale de frein. De nombreuses photos ci-dessous pour aider ceux qui veulent faire de même. La position du ressort, les diverses rondelles, les divers tirants et autres fantaisies variées, tout est là.
D'abord une clé de 30 (!) pour débloquer la roue, opération préalable indispensable.









Pas de commentaire particulier, des images en gros plan, je n'aime pas ces gros plans qui exacerbent des défauts quasiment pas visibles...
Ensuite montage des câbles embrayage et frein avant :



La passage des câbles avant n'est pas le bon, ils doivent se trouver derrière la tringle de garde-boue.


Pour finir, j'ai voulu monter une des 4 chaînes que j'ai. Pas une seule ne convient !
Toutes sont trop courtes... 
Ce manque de longueur est à vérifier car une fois la chaîne en place, ça frotte dans le carter de chaîne, comme rien n'est déformé, je pense que la couronne est trop grande ce qui expliquerait que mes chaînes ne vont pas. Je vais être "bon" pour redémonter cette roue arrière.
Youpiiiiiii !!!!!!!!